Grâce aux engagements de cette Charte, chaque acteur concerné pourra accomplir facilement ces missions. Le but étant de préserver la qualité de l’environnement, l’eau et la santé de tous.

Objet de la Charte

La Charte pour l’entretien des espaces publics a été mise en place à l’attention des communes d’Auvergne qui sont prêtes à s’engager à la diminution de l’application de produits phytosanitaires. Naturellement, l’objectif ici est d’optimiser les pratiques d’entretien des espaces publics. Cette Charte est basée sur la description des différentes actions sur lesquelles la communauté s’engage afin de contrôler les risques de contamination des ressources en eau et de pollution de l’environnement.

Les engagements à respecter

Reprise dans diverses régions françaises comme l’Auvergne, la Charte d’entretien des espaces publics a été conçue pour prévenir les pollutions engendrer par la chimie en matière de culture, de parcs et d’espaces publics. Elle vise également à valoriser les communes qui s’engagent dans une démarche de diminution de pollutions. Cela en privilégiant l’usage des produits phytosanitaires.

Les engagements consistent à se conformer à la réglementation en vigueur :

• Il est essentiel de tenir un registre d’interventions phytosanitaires à jour et de considérer les contraintes de désherbage surtout dans les nouveaux aménagements.
• Il faut assister aux journées de démonstration de techniques alternatives. Cela afin de connaître les mesures à respecter sur la préservation de l’environnement.
• Il est important de mettre en place différentes actions de sensibilisation auprès des habitants.
• Faire un plan d’entretien phytosanitaire des milieux communaux tout en respectant les préconisations diverses
• Réaliser un test de techniques alternatives au désherbage chimique
• Procéder à des aménagements dans le but de se débarrasser des interventions chimiques. Puis, innover afin de diminuer la pollution des ressources en eau par les pesticides
• Il est interdit d’appliquer et de faire appliquer des produits phytosanitaires.
• Il est primordial d’inciter les habitants à ne plus se servir de ces produits chez eux.

À compter du jour de la signature de la Charte, l’Auvergne s’est engagé à se conformer à toutes ces réglementations dans un délai d’un an. Il est important que chaque citoyen se sente acteur et partie-prenant du changement.

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Certains experts affirment d’ailleurs que cette ressource fondamentale et stratégique reflète la complexité du monde contemporain et la situation s’empire à cause des changements climatiques. La bataille de l’eau est un phénomène qui se produit quotidiennement. D’après l’ONU, près d’un milliard de personnes n’ont pas accès à l’eau potable. De plus, l’eau douce est encore une ressource rare. Il existe donc des décalages profonds entre l’offre et la demande en or bleu sur notre planète. Le plus terrible est que quand nous vivons sans problème à ce niveau là, nous finissons par oublier à quel point l’eau est précieuse et quelle est sa vraie valeur.

Ainsi, dans certaines régions de la France, l’eau potable coule à profusion. C’est le cas de l’Auvergne avec ses nombreuses sources d’eaux minérales et thermales. Notre belle région nous gratifie de 109 sources d’eaux et elle commercialise la plupart de ces trésors à travers le monde.

L’or bleu, une source de vie indispensable au quotidien

L’eau participe grandement au développement durable d’une localité, voire d’un pays tout entier. Lorsque l’eau coule, les gens décident de s’installer, puis de produire des biens et des services. Les spécialistes construisent ensuite des dispensaires, des hôpitaux, des réseaux d’alimentation et d’autres infrastructures essentielles pour la vie des habitants. À leur tour, ces derniers ont accès à de l’eau de potable. Ils peuvent vivre sainement, cultiver et réaliser toutes sortes de projets contribuant au développement local.

La bataille de l’eau, un problème omniprésent partout dans le monde

L’eau est manifestement un bien mal réparti. À cause du manque d’eau potable, un enfant meurt toutes les 8 secondes. Des millions de personnes perdent aussi la vie chaque année, en raison de la mauvaise qualité de cette ressource vitale. Selon l’ONU, dans les pays du Sud, plus d’un individu sur deux est atteint d’une maladie liée à l’eau.

À vrai dire, la planète est en train de faire face à une grande pénurie d’eau. Bien qu’elle soit constituée de 70 % d’eau, la Terre ne fournit que 2,5 % d’eau douce et consommable. Avec cette quantité d’or bleue au niveau planétaire, toutes les espèces peuvent très bien satisfaire leurs besoins en eau. Toutefois, le vrai problème, c’est que l’accès à cette ressource est inégal, ce qui provoque des conflits dans la société. Et cette situation se produit n’importe où, aux États-Unis, en France, au Japon, et même à Dubaï.

Autre facteur préoccupant, du fait de la croissance démographique et économique dans le monde, les besoins de l’humanité en eau ne cessent d’augmenter. De plus, de nombreux pays commencent à suivre le mode de vie nord-américain avec leur surconsommation industrielle, agricole et résidentielle. On estime alors que si cette tendance se poursuit, dès 2030, la demande en eau dépassera les ressources disponibles sur la Terre. Non seulement l’or bleu sera rare, mais elle sera encore plus chère et inaccessible.

Une bonne gestion de l’eau pour un développement durable

Pour faire en sorte que l’or bleu soit accessible à tous, il faut que chaque personne soit responsable et mobilisée. Il est surtout essentiel d’être plus solidaire dans la bonne gestion de l’eau. Chacun doit également être conscient des causes et conséquences de la pollution qui provoquent la rareté de l’eau. Et le plus important, c’est de savoir protéger et partager équitablement cette ressource vitale afin d’assurer un développement durable.

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Le monde des jeux de hasard n’a pas été épargné par cette transition verte. Quand l’écologie a commencé à se pencher sur les questions de bilans carbone, mais aussi de consommation intensive d’électricité, certains établissement de jeux ont pu faire l’effet de ne pas être des modèles d’exemplarité. De fait, sans même attendre d’être montrés du doigt, de nombreux casinos se sont lancés dans la grande aventure écologique. Et si le tourisme vert est un concept qui ne nous est pas étranger, le divertissement vert est quant à lui plus rare. Une situation peut-être sur le point de changer.

Des initiatives écologiques pour les casinos ?

Après les agriculteurs, c’est au tour des casinos de chercher des solutions écologiques et de se plier aux conformités des politiques vertes. Pour bien distinguer les choses, il faut différencier les casinos traditionnels des casinos virtuels. Par leur nature même et la nature de leurs divertissements, les premiers sont des gros consommateurs d’électricité. Il leur faut donc chercher des solutions d’économie du côté de leurs infrastructures et ce n’est pas toujours simples. Ils peuvent aussi contribuer à des opérations vertes en les sponsorisant ou comme on le verra en prenant des initiatives plus originales. D’un autre côté, les casinos virtuels sont presque déjà de fait des casinos écologiques étant donné les économies de ressources qu’ils entrainent. On ne saurait comparer le coût d’un serveur ou même de deux avec les ressources engagées par un casino classique.

En mettant donc de côté pour l’instant les casinos virtuels, les casinos des grands complexes hôteliers figurent parmi les pionniers de cette mode verte. La sphère touristique est immergée dans la transition écologique depuis plusieurs années. Or, en plus de leur casinos, certains établissements proposent hébergements luxueux et restaurants étoilés. D’une certaine façon, ces salles de jeux implantées dans ce genre d’infrastructure ont été emportées dans cette transformation verte bien avant les autres casinos notamment grâce à des slots pas comme les autres. Ce qui leur a valu des systèmes de notations avec des côtes écologiques en parallèle avec les étoiles. Pareillement, la certification verte existe et classe les casinos selon leur indice de participation à l’écologie. À l’instar des cotes de prestiges Green Key, vous pouvez consulter ces mentions pour connaître ceux qui sont mieux notés.

Pourquoi sont-ils plus verts ?

Les engagements pour l’environnement des casinos se concrétisent sous différentes formes. Les casinos se hisseraient même au premier rang en ce qui concerne les transitions écologiques dans le domaine du divertissement. Les plus importantes d’entre elles sont répertoriées dans la consommation d’énergie, notamment en France. Avec des horaires d’ouvertures conséquentes et l’usage étendu de l’électricité, cette prise de mesures est saluée par les écologistes français. La consommation énergétique annuelle des établissements de jeu est énorme et se situe en moyenne aux environs de 300 MWh. Ce qui équivaut à peu près à la consommation des supermarchés, sans compter la partie réfrigération.

De l’autre côté de l’Atlantique, cet engagement pour le développement durable est plus approfondi encore. Comme il a été mentionné plus haut, les casinos sont souvent reliés aux grands hôtels, surtout en Amérique. Ainsi, dans plusieurs casinos de Las Vegas par exemple, en plus d’économiser de l’éclairage, les restaurants sont aussi passés au vert. La nourriture servie dans les casinos est préparée avec des appareils écoénergétiques et les ingrédients sont intelligemment recyclés. C’est-à-dire que les épluchures sont économisées et les plats sont cuisinés de manière verte. De même, les eaux des casinos sont réglées de sorte à éviter au maximum le gaspillage.

Des casinos à la rescousse des abeilles

Dans cette quête de conformité avec le développement durable, les casinos s’efforcent aussi d’innover. Ainsi par exemple, certains d’entre eux se sont lancés dans la préservation de l’un des insectes les plus importants de l’écosystème : l’abeille. Qui aurait cru qu’un jour, les joueurs seront associés au sort des abeilles et de la pollinisation du monde ?

Pourtant, aussi insolite que cela puisse paraître, des casinos français se sont engagés pour la cause des abeilles. Le casino de Dieppe a par exemple pris l’initiative d’accueillir des abeilles sur son toit. En plus de produire son propre miel, le casino contribue ainsi à l’équilibre de l’écosystème environnant et à la survie des insectes pollinisateurs. Mais les casinos français ne s’arrêtent pas là. Vous pouvez également trouver des casinos qui sélectionnent minutieusement leurs produits frais. Une sélection effectuée dans le but de consommer uniquement les produits locaux respectueux du développement durable. Dans les casinos les plus prestigieux, en général, quand la restauration s’en mêle, l’excellence est au rendez-vous. Or, de nos jours, l’excellence en matière de restauration joue la carte verte (producteurs locaux, proximité, produits frais, produits bio,…).

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Les pesticides pour quels usages ?

Les pesticides sont un regroupement de plusieurs substances chimiques, d’origine naturelle ou synthétique, visant à éliminer des organismes vivants s’attaquant aux cultures et plantations. Selon l’usage, on peut parler d’herbicides qui visent les mauvaises herbes, de fongicides qui s’attaquent aux champignons et d’insecticides qui éliminent les insectes.

Les pesticides sont utilisés en agriculture, en jardinerie ou parfois dans les collectivités territoriales. Leurs modes d’action différent selon les types (en surface, préventif, curatif, par contact, par inhalation…) tout comme leur application (enrobage de graine, aspersion par la plante.

La France, un gros consommateur de pesticides en Europe

Des mesures ont été prises depuis 2008 quant à la réduction de l’utilisation des pesticides sur les cultures en France. Cela a débouché sur la mise en place du plan Ecophyto, lancé par Nicolas Sarkozy pour réduire de 50% l’usage des pesticides. Hélas, cela a eu comme effet secondaire d’interdire certains produits pour d’autres moins concentrés, certes, mais utilisés à plus grande échelle.

Au total, la consommation annuelle de la France s’élève à environ 65 000 tonnes de pesticides, pour 75 000 tonnes de produits. Cela représente un tiers de toute la consommation en Europe. Ce qui le place à la seconde place sur le marché européen, derrière l’Espagne. 90% de ces tonnages sont utilisés en agriculture. Les 10% restants sont utilisés par les collectivités (environ un tiers) et par les particuliers et entreprises.

Le marché des pesticides représente un business colossal dans le monde, à plus de 60 milliards d’euros de chiffres d’affaires. Ce marché est détenu par une poignée de multinationales, dont les Big Six qui sont Bayer, Syngenta, DuPont, Dow, Monsanto et BASF.

De graves conséquences sur la santé et l’environnement

Professionnels, riverains et consommateurs n’échappent pas aux conséquences engendrées par l’utilisation de pesticides. Les professionnels sont les personnes les plus à risques en étant en première ligne. En manipulant ou en respirant aux produits phytosanitaires, les agricultures, viticulteurs et concepteurs de pesticides se retrouvent exposés. Les études menées par les scientifiques démontrent l’apparition de certaines pathologies comme la maladie de Parkinson, le cancer de la prostate et le myélome multiple (cancer du sang). Chez les mères exposées en période de grossesse, on a noté l’apparition de troubles neurodéveloppementaux et de leucémies chez leurs enfants.

Chez les riverains, les risques sont presque les mêmes, puisqu’ils sont eux aussi exposés aux pesticides. Les consommateurs sont beaucoup moins exposés. Ces personnes sont sans doute exposées à des taux faibles, ne présentant pas de graves conséquences. Néanmoins, il existe des pesticides qui causent des perturbations endocriniennes, la glande qui secrète les hormones. Dès lors on comprend bien l’urgence d’en limiter l’usage de manière draconienne.

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